Pas de problème… les cours d’essais sont gratuits !
Venez en survêtement et T-Shirt faire des cours d’essais pour juger de la convivialité et pour découvrir si les programmes des cours correspondent à vos attentes… (Le professeur vous prêtera une tenue s’il y en a une de libre).
Ce sport est ouvert aussi bien aux filles qu’aux garçons, dés l’âge de 4 ans ou les plus jeunes développent leurs habiletés motrices en s’amusant par une gymnastique douce, basée sur le code moral du judo et ses principes de base (Entraide et convivialité).
Beaucoup de personnes nous demandent souvent si elles peuvent reprendre le Judo alors qu’elles en ont fait enfant et que maintenant elles ont 30, 35, 40 voire 45 ans passés.
La réponse est bien sûr positive. Ne vous sous-estimez pas. Vous ne deviendrez pas des champions du monde (mais était-ce réellement votre objectif ?). En revanche, vous pourrez devenir ceinture noire. Si, si… on en connaît… Un cours d’Adultes-Loisirs mixte composé d’une trentaine de judokas existe déjà, ou la moyenne d’âge est de 35 ans. La convivialité, la technicité est au rendez-vous de chaque cours.
Cette rubrique est faite pour vous. Nous répondons ici aux principales questions que les gens nous posent régulièrement.
Sachez d’abord que ce sport est ouvert aussi bien aux filles qu’aux garçons.On peut commencer le Judo à n’importe quel âge. Notre club, devant la demande des parents, a ouvert une section pour les enfants dés l’âge de 4 ans. Depuis dix ans qu’elle fonctionne, on peut la tenir pour concluante.
Le Judo peut être envisagé sous différents angles.
Comme un loisir et comme un jeu tout d’abord. Bien qu’individuel, le Judo est un sport qui se pratique en groupe. Vous aurez donc, comme dans toute association, l’occasion de vous amuser et de vous faire des amis.
Le Judo est également un sport, quel scoop ! Reste à savoir quel type de sport vous recherchez. Tout le monde ne peut pas devenir un Douillet. Ainsi selon votre âge, vos possibilités physiques et surtout votre envie, votre pratique s’orientera vers un Judo loisir, un Judo de « maintien en forme » ou un Judo orienté compétition.
Dans une bonne ambiance d’ »entraide et prospérité mutuelle » (un des principes fondamentaux du Judo), vous confronterez votre Judo à de nouveaux partenaires lors de multiples entrainement en commun que le club vous propose tous les 1er Jeudi du mois.. Ce qui permet aux judokas de mesurer et comparer leur niveau en dehors de toute idée de compétition. Ce sont des échanges inter-clubs.
Mais qu’est-ce que le Judo ?
Le Judo est un sport de préhension. Hein ? Quesaquo ? Cela signifie que les deux combattants se tiennent par le judogi (plus communément appelé « Kimono »). Au karaté ou au Tae Kwon Do par exemple, ce n’est pas le cas. Pourquoi se tenir ? Parce que l’on se projette. Ceci ne se fait pas n’importe comment mais par un certain nombre de techniques.
Très schématiquement, on distingue :
Les projections par dessus l’épaule
Les projections de hanche
Les fauchages
Les balayages
Les sacrifices du corps (sutemi)
Votre enfant fait du Judo, vous l’accompagnez en compétition mais n’y comprenez rien.
Pour être vainqueur d’un combat, il faut marquer « Ippon ».
C’est à dire projeter avec dynamisme et vitesse le partenaire sur les épaules avec contrôle.
Si l’un de ces éléments fait défaut, on ne marque que « Waza-Ari ».
Si le partenaire chute sur le côté du corps, il n’y aura que « Yuko ».
Et s’il ne chute que sur le postérieur, il y aura « Koka », c’est le plus petit avantage technique que l’on peut avoir sur le partenaire.
Le Ippon arrête net le combat. Deux Waza-Ari valent un Ippon. Deux Yuko valent moins qu’un Waza-Ari. Deux Koka valent moins qu’un Yuko.
A l’entrainement, celui qui fait tomber son partenaire sur le dos, côté ou fesse marque 1 point et c’est celui qui a le plus de points qui remporte ce petit combat.
Un combat peut aussi se gagner au sol. On parle d’immobilisations. Il faut maintenir le partenaire sur le dos, une épaule collée au sol pendant un certain temps. Si on parvient à conserver ce contrôle au sol 25 secondes, on gagne le combat par Ippon.
De 0 à 9 secondes, on ne marque aucun avantage technique.
De 10 à 19 secondes, on marque Koka.
De 20 à 24 secondes, on marque Waza-Ari.
Un Waza-Ari acquis au sol se cumule avec un Waza-Ari acquis debout (et réciproquement) pour donner la victoire par Ippon.
Il faut deux ans de licence plus celle de l’année en cours dit le règlement. Que faut-il faire ? Il faut « passer les Katas ». Les Katas sont un enchaînement de techniques. Pour le premier dan, il faut démontrer la première partie du « Nage No Kata » : 3 fois 3 techniques de projection. Il faut aussi gagner 100 points en compétition officielle contre d’autres ceintures marrons. Seuls les Ippon et les Waza-Ari comptent. Les Ippon rapportent 10 points et les Waza-Ari 7. Il faut enfin assister à une manifestation en tant que de commissaire sportif (teneur de table), lors d’une compétition officielle.
Ceinture Blanche, il suffit de commencer le Judo pour la porter
Ceinture Blanche liseré jaune
Ceinture Blanche 2 liserés jaunes
Ceinture Blanche/Jaune
Ceinture Jaune
Ceinture Jaune/Orange
Ceinture Orange
Ceinture Orange/Verte
Ceinture Verte
Ceinture Verte/Bleue (non reconnue par la fédération de Judo)
Ceinture Bleue
Ceinture Bleue/Marron (non reconnue par la fédération de Judo)
Ceinture Violette (seulement si le judoka est trop jeune pour porter la ceinture Marron )
Ceinture Marron
Ceinture Noire
Tous ces grades sont donnés par les professeurs des clubs. Pour les jeunes enfants, « marchant à la carotte », il y a des barrettes qu’il faut coudre sur la ceinture.
Les Ceintures qui suivent sont délivrées par la FFJDA (Fédération Française de Judo et Disciplines Associées) au nom du Secrétaire d’état chargé de la Jeunesse et des Sports. Elles sont reconnues internationalement.
Ceinture Noire : du premier au cinquième dan
Ceinture Blanche–Rouge : du sixième au huitième dan
Ceinture Rouge : neuvième et dixième dans.
Il n’y a pas de ceinture au delà de ce grade. Symboliquement, il fût donné à JIGORO KANO, le créateur du Judo, après sa mort, le grade de douzième dan. Ceci, sachant qu’il n’y a pas de onzième dan.
Quel que soit le grade a passer, le judoka est apprécié sur trois critères :
Valeur corporelle : TAI (Forme de corps ou compétitions)
Valeur technique : GHI (Technicité)
Valeur morale : SHIN (Esprit conforme au code moral du judo).
L’échauffement est là pour préparer le corps à l’exercice physique intense que sont les randoris. (Un randori, c’est un combat lors d’un entraînement). Un Shiai est lui un combat de compétition.
Lorsque l’on est enfant, on ne comprend pas toujours l’intérêt des échauffements. Il suffit d’expliquer que si on ne s’échauffe pas bien, on risque de se blesser.
L’échauffement débute généralement par une augmentation progressive du rythme cardiaque. Au club, nous le faisons sous forme de divers jeux pédagogiques. Puis on échauffe plus en profondeur les les muscles pour finir par un échauffement spécifique (à la séance).
Il ne faut pas oublier que Judo signifie « Voie de la souplesse » en japonais. Le renforcement musculaire (pompes, abdos, …) sera très léger, voire inexistant, pour les enfants.
Enfin, on privilégiera avec des enfants et même avec les grands, une approche ludique, car on pratique mieux quand on prend du plaisir…